10.30.2011

Parasite social institutionnel

Un parasite social institutionnel (PSI) est quiconque vit par la force 
sur le dos des autres 
de façon visible, constante et impunie. 
Les synonymes de '"parasite social institutionnel" sont :  
"rentier de la spoliation légale", "esclavagiste officiel", 
"exploiteur du peuple".




Les parasites sociaux institutionnels sont la caste supérieure du socialisme, forme contemporaine de l'exploitation des faibles par les puissants, la caste inférieure étant celle des producteurs-esclaves Les hommes de l'état sont les parasites sociaux institutionnels les plus visibles, mais il existe en fait toute une hiérarchie de la spoliation légale :

Au sommet se trouvent les Hauts Fonctionnaires, administrateurs du socialisme pseudo-démocratique ; les Hauts Fonctionnaires ne se livrent pas eux-mêmes à la violence criminelle dont ils vivent, ils en donnent l'ordre aux policiers, qui sont des fonctionnaires à leurs ordres et ils manipulent celle des partenaires sociaux à part entière.

En-dessous on trouve les fonctionnaires ordinaires, qui obéissent aux premiers. Vivre en permanence d'argent volé aux autres leur garantit l'emploi et la retraite.

Les syndicalistes aussi sont des parasites sociaux institutionnels, à la fois parce que les privilèges de monopole que leur accorde la législation du travail leur permettent, quand ils travaillent encore, de gagner davantage aux dépens des autres salariés et de ceux qu'ils condamnent au chômage, et parce que les syndicats ne vivent plus que de subventions de l'état, dont ils ne sont qu'un faux nez et auquel ils servent de prétexte pour servir encore moins les citoyens qui l'entretiennent.
 Les syndicalistes sont presque tous des partenaires sociaux à part entière, c'est-à-dire qu'ils peuvent en outre se livrer eux-mêmes impunément à des actes délictueux et criminels, comme les policiers agissant sur ordre des Hauts Fonctionnaires

Restent les parasites sociaux institutionnels qui ne sont pas des partenaires sociaux à part entière mais demeurent des "exploiteur du peuple" : ce sont les diverses catégories qui vivent d'argent légalement volé aux autres par les policiers et les juges aux ordres des Hauts Fonctionnaires. Cette caste comprend des gens incroyablement riches qui empochent les subventions de l'état.

On y trouve aussi des bourgeois petits et grands, comme ceux qui peuplent en majorité les logements subventionnés. Elle comprend aussi des pauvres qui, lorsqu'ils ne sont pas des partenaires sociaux à part entière sont quand même le plus généralement des "exploiteur du peuple", qui vivent d'aides sociales, de prétendus "services publics" pseudo-gratuits et autres subventions de l'état, et dont il est interdit de dire du mal sous peine d'être puni par les gens de l'état socialiste.
Le parasitisme social institutionnel 
s'autorise de divers discours sophistiques 
suivant la place du parasite 
dans la hiérarchie des 
"exploiteur du peuple". 
Le plus général est le discours sur les prétendus 
"droits à" 
"droit à l'éducation", 
"droit au logement", etc. 
qui sont autant de  
pétitions de principe esclavagistes-absurdistes.


Dans une vraie démocratie, 
tout parasite social institutionnel  
serait inéligible et privé 
de tout droit de vote  
par une clause constitutionnelle 
interdisant le conflit d'intérêts. 



Le jour où la société des citoyens aura compris 
les causes du problème 
et 
proclamera la fin du «contrat social» 
qui lui a été imposé unilatéralement 
par les détenteurs de l'État, 
le jour où elle formulera expressément 
son exigence d'être un acteur institutionnel de l'État 
et non un sujet, 
où elle se rendra compte qu'elle est la source primaire de tout pouvoir 
et, naturellement, de sa propre existence, 
elle constatera l'efficacité de sa puissance. 
 George Contogeorgis
 Source