Un parasite social institutionnel (PSI) est quiconque vit par la force
sur le dos des autres
de façon visible, constante et impunie.
Les synonymes de '"parasite social institutionnel" sont :
"rentier de la spoliation légale", "esclavagiste officiel",
"exploiteur du peuple".
Les parasites sociaux institutionnels sont la caste supérieure du socialisme, forme contemporaine de l'exploitation des faibles par les puissants, la caste inférieure étant celle des producteurs-esclaves Les hommes de l'état sont les parasites sociaux institutionnels les plus visibles, mais il existe en fait toute une hiérarchie de la spoliation légale :
Au sommet se trouvent les Hauts Fonctionnaires, administrateurs du socialisme pseudo-démocratique ; les Hauts Fonctionnaires ne se livrent pas eux-mêmes à la violence criminelle dont ils vivent, ils en donnent l'ordre aux policiers, qui sont des fonctionnaires à leurs ordres et ils manipulent celle des partenaires sociaux à part entière.
En-dessous on trouve les fonctionnaires ordinaires, qui obéissent aux premiers. Vivre en permanence d'argent volé aux autres leur garantit l'emploi et la retraite.
Les syndicalistes aussi sont des parasites sociaux institutionnels, à la fois parce que les privilèges de monopole que leur accorde la législation du travail leur permettent, quand ils travaillent encore, de gagner davantage aux dépens des autres salariés et de ceux qu'ils condamnent au chômage, et parce que les syndicats ne vivent plus que de subventions de l'état, dont ils ne sont qu'un faux nez et auquel ils servent de prétexte pour servir encore moins les citoyens qui l'entretiennent.
Les syndicalistes sont presque tous des partenaires sociaux à part entière, c'est-à-dire qu'ils peuvent en outre se livrer eux-mêmes impunément à des actes délictueux et criminels, comme les policiers agissant sur ordre des Hauts Fonctionnaires.
Restent les parasites sociaux institutionnels qui ne sont pas des partenaires sociaux à part entière mais demeurent des "exploiteur du peuple" : ce sont les diverses catégories qui vivent d'argent légalement volé aux autres par les policiers et les juges aux ordres des Hauts Fonctionnaires. Cette caste comprend des gens incroyablement riches qui empochent les subventions de l'état.
Le parasitisme social institutionnel
s'autorise de divers discours sophistiques
suivant la place du parasite
dans la hiérarchie des
"exploiteur du peuple".
Le plus général est le discours sur les prétendus
"droits à"
"droit à l'éducation",
"droit au logement", etc.
qui sont autant de
pétitions de principe esclavagistes-absurdistes.
Dans une vraie démocratie,
tout parasite social institutionnel
serait inéligible et privé
de tout droit de vote
par une clause constitutionnelle
interdisant le conflit d'intérêts.
Le jour où la société des citoyens aura compris
les causes du problème
et
proclamera la fin du «contrat social»
qui lui a été imposé unilatéralement
par les détenteurs de l'État,
le jour où elle formulera expressément
son exigence d'être un acteur institutionnel de l'État
et non un sujet,
où elle se rendra compte qu'elle est la source primaire de tout pouvoir
et, naturellement, de sa propre existence,
elle constatera l'efficacité de sa puissance.
George Contogeorgis
Source